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Auteur/autrice : Jérôme MANDINE
Des tablettes tactiles en maternelle, pour apprendre sans en avoir l’air
AFP / Le PARISIEN Publié le 21.03.2013, 10h40
De retour de la cantine, c’est l’excitation pour les “grands” de la maternelle Marxenhouse à Haguenau (Bas-Rhin), qui viennent d’apercevoir des tablettes tactiles dans la classe. “C’est leur séance hebdomadaire, ils adorent”, sourit leur institutrice.
Depuis quelques semaines, une quarantaine d’élèves de grande section expérimentent l’introduction de six ardoises d’un nouveau genre, financées par la municipalité de cette ville de…

Les ventes de tablettes vont exploser en 2013
: Publié le 08.04.2013, 08h23 | Mise à jour : 08h59
Baisse du taux du Livret A : pourquoi tant de changements ?
Auteur : LCL Mars 2013
Le gouvernement vient d’annoncer une baisse du taux du Livret A, qui redescend à 1,75 %. Pourquoi le taux du placement préféré des Français change-t-il régulièrement ? Explications.
Comment est fixé le taux du Livret A ?
De 2,25 % en août 2012, le taux du Livret A est passé à 1,75 % en février 2013. Comment se décide le taux de ce placement est ajusté à la hausse ou à la baisse ?
Le taux d’intérêt du Livret A est calculé par la Banque de France 2 fois par an, les 15 janvier et 15 juillet, puis publié le 1er février et le 1er août. Il résulte d’une moyenne automatique entre l’inflation et les taux d’intérêt à court terme, augmentée de 0,25 point.
Ce taux est ensuite révisé trimestriellement, les 15 avril et 15 octobre. En cas de variation importante de l’inflation ou des marchés monétaires, le taux peut ainsi être modifié au 1er mai et au 1er novembre.
À noter : la variation de taux entre 2 fixations successives ne peut pas dépasser 1,5 % (arrêté du 27/01/2009).
Le taux du Livret A est donc notamment indexé sur l’inflation. Or, sur une année glissante, de décembre 2011 à décembre 2012, la hausse de l’indice des prix à la consommation n’a atteint que 1,2 %. C’est ce chiffre qui a servi de base à la révision à la baisse du taux du Livret A en février 2013. Quant à l’inflation moyenne, elle a légèrement ralenti en 2012 par rapport à 2011, pour atteindre 2 % (contre 2,1 % entre 2010 et 2011).
Possibilité de déroger à la règle
En cas de circonstances exceptionnelles, le gouverneur de la Banque de France peut proposer au ministre de l’Économie de ne pas appliquer la formule habituelle. C’est ce qui s’est passé pour le calcul du taux en février 2013.
Compte tenu de la formule de calcul basée sur l’inflation en 2012, le taux de rémunération du Livret A aurait normalement dû être de 1,5 % à partir du 1er février 2013. Toutefois, étant donné le contexte économique, la crainte de perte de pouvoir d’achat des Français et leur attachement à ce placement, la Banque de France et le gouvernement ont décidé de majorer ce taux de 0,25 % pour le porter à 1,75 %, ne l’abaissant que de 0,5 % au lieu de 0,75 % (différence entre 2,25 % en août 2012 et 1,5 %, tel que calculé en février 2013).
Un placement attractif
Le Livret A est un produit d’épargne réglementé qui présente de nombreux atouts :
- vous pouvez y placer jusqu’à 22 950 €*, actuellement rémunérés au taux de 1,75 %,
- votre épargne et les intérêts produits sont garantis,
- votre capital reste disponible à tout moment, sans pénalité,
- entièrement défiscalisés, votre épargne et les intérêts produits ne sont soumis ni à l’impôt sur le revenu, ni aux prélèvements sociaux.
Il ne peut être détenu qu’un seul Livret A par personne, mais chaque membre de la famille, y compris un enfant mineur, peut en posséder un. Idéal pour faire fructifier les liquidités de toute la famille !
* Une fois atteint, ce plafond peut être dépassé par la capitalisation des intérêts.
PME : ces talents qu’il vous faut gérer
Le management des talents n’est pas réservé aux seuls grands groupes. Les PME, plus que n’importe quelle entreprise, doivent pouvoir s’entourer des meilleurs éléments et les fidéliser pour s’assurer succès et croissance.
Sur les 2,8 millions d’emplois créés en France ces 20 dernières années, 2,3 millions l’ont été par des PME. Voilà le constat opéré par les auteurs de la dernière étude menée conjointement par KPMG et la CGPME (1). Les PME recrutent, donc, et elles recrutent des profils de plus en plus qualifiés selon cette même étude.
En cause ? La désindustrialisation et l’arrivée de générations de plus en plus diplômées. Mais voilà, « après une première expérience dans une PME, les cas de « fuite » des jeunes diplômés vers une grande entreprise sont fréquents », notent les auteurs de cette même étude. Autrement dit, les PME rencontrent des difficultés pour fidéliser leurs talents. Et pourtant, l’attraction et la fidélisation de ces talents sont indispensables au développement de ces structures, indispensables, même, à leur survie !
Des ressources humaines de qualité
Indispensables, car les PME ont besoins d’experts pour développer leurs leviers de croissance, à commencer par le développement à l’international (exports, partenariats, création de filiales, etc.), ainsi que l’innovation et la recherche et développement (scientifique et technique, mais aussi au niveau commercial, marketing, managérial, etc.). Les auteurs de l’étude appuient : « Si être une PME est parfois perçu comme un handicap pour attirer et conserver les talents, c’est bien souvent sur la qualité de ses ressources humaines qu’elle fonde son développement. Le dirigeant insuffle dans son organisation une culture et la passion du développement. Il promeut souvent les valeurs héritées de l’entreprise familiale telles que la convivialité, le management de proximité, la participation des salariés aux prises de décisions, le respect… » Bref, le dirigeant mène une véritable politique de talent management.
Recrutement, formation, rémunération…
Car lorsque l’on parle de guerre des talents, d’aucuns réduisent bien souvent cette notion au recrutement. Mais, si le talent management commence bien par le recrutement (attirer), il se poursuit surtout autour des différents dispositifs de l’entreprise pour développer ses talents en interne (fidéliser) : formation, management, évolution professionnelle, rémunération, fierté d’appartenance, etc. Le tout avec un objectif en tête : faire évoluer son vivier de compétences au regard de la stratégie de l’entreprise.Autrement dit, se bâtir une marque employeur solide et la faire vivre au quotidien.
Reste que nombre de patrons de PME objecteront la difficulté d’attirer les meilleurs éléments issus des plus grandes écoles, surtout si l’on est une PME positionnée sur un marché B to B. Et si cette difficulté était en fait une chance ?
Faire de la diversité un atout
. Car en définitive, le talent d’un individu ne vaut qu’au regard d’une entreprise et d’un contexte donnés. Les grands groupes aspirent les promotions d’HEC, de l’ESCP ou de Centrale ? Qu’à cela ne tienne. Voilà l’occasion pour nombre de PME de miser sur un recrutement divers et de développer leurs propres talents en interne. Universitaires, jeunes diplômés issus des quartiers sensibles, seniors, personnes reconnues en qualité de travailleur handicapé…
L’intérêt d’une telle politique de diversité des talents ? Baisse du taux d’absentéisme, lutte contre la pénurie de main d’œuvre, renforcement de la fierté d’appartenance et implication des salariés, amélioration de la capacité d’adaptation et d’innovation, capacité à mieux cerner les attentes de sa clientèle, présence renforcée de l’entreprise sur son bassin d’emploi (2)… Les études sur le sujet sont légion. A long terme, une équipe diversifiée sera plus performante.
Développer une stratégie
Plus performante, à condition de s’en donner les moyens. Les PME offrent des avantages certains, parmi lesquels : perspectives d’ascension salariale plus favorables, moins de disparités de salaires entre femmes et hommes, des emplois plus stables, une plus grande facilité pour concilier vie professionnelle et vie privée, et enfin une plus forte participation aux élections professionnelles. Mais certains manquements persistent, en particulier autour de l’accès à la formation, de la part des seniors dans l’emploi ou encore du taux d’accès à l’emploi pour les demandeurs d’emploi (3).
A chaque PME d’identifier ses forces et ses faiblesses, avec les bons indicateurs, et de proposer de véritables stratégies de développement en interne pour obtenir le meilleur de ses salariés : formation, entretiens de développement, management de proximité, benchmark salarial, évolution transverse… Quant aux diplômé(e)s des grandes écoles, après leurs premières expériences dans les grands groupes, quand ils (elles) voudront donner du sens à leur engagement professionnel, beaucoup verront dans la PME performante l’espace de l’épanouissement professionnel.
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(1) Panorama de l’évolution des PME depuis 10 ans, cahier préparatoire, 28 juin 2012.
(2) Voir sur ce point l’étude menée par IMS Entreprendre pour la cité : La diversité des ressources humaines, levier de performance économique :http://www.calameo.com/read/00113083785e9defdeba0
(3) Enquête OSEO – « Quels emplois pour les PME – Etude sur les PME et l’emploi en France » – Décembre 2007. Mentionnée dans Panorama de l’évolution des PME depuis 10 ans, cahier préparatoire, 28 juin 2012.
PME : une alternative pour pallier la pénurie de talents ?
Avec le vieillissement de la population, le proche départ en retraite des « Baby Boomers » et le manque d’attractivité des pays de la zone Euro (où la fiscalité très élevée incite à l’émigration économique), il est devenu particulièrement compliqué pour les entreprises de trouver des professionnels hautement qualifiés.
La pénurie de talent se fait de plus en plus ressentir auprès des économies occidentales. Et cela ans divers domaines : scientifiques, technologiques, mathématiques et de l’ingénierie. Assurer la relève en matière de capital humain devient problématique.
Les entreprises qui n’y parviennent pas, mettent leur avantage concurrentiel en péril. Les petites et moyennes entreprises sont les plus vulnérables. Plusieurs raisons en sont la cause : elles semblent moins attractives et surtout moins stables, et ne disposent pas du budget ni du capital humain nécessaire pour entrer en concurrence avec les multinationales sur des actions de marketing RH, ou sur la question des avantages sociaux.
Pour les PME, il devient essentiel de repenser leur modèle de recrutement pour les rendre plus flexibles.
Alors que faire ?
Permettre le travail à distance est peut-être une des clés permettant de palier la pénurie de talents. En effet, il ne s’agit aucunement de baisser ses exigences en matière de recrutement, mais simplement d’étendre ses recherches géographiquement. Ainsi la contrainte de trouver un candidat à proximité ou prêt à déménager disparait. Aux Etats-Unis, il existe des job boards dédiés aux postes effectués en home-office tels que « FlexJobs » et « TasksEveryDay ».
Par où commencer ?
Il faut d’abord identifier les fonctions et les tâches qui peuvent être effectuées à distance. Ensuite les PME doivent modifier leur perception de l’impact que la présence physique du collaborateur a durant les heures de travail. Il faut accepter que les horaires soient plus flexibles mais définir clairement la disponibilité, le temps de réponse ainsi que les tâches à effectuer.
De plus, pour permettre le travail à distance, il convient de mettre à disposition les outils nécessaires tels que le cloud.
Enfin, il est important de mesurer, d’analyser et de contrôler les bienfaits liés à la mise en place d’une telle stratégie de recrutement. Suite à des analyses cette stratégie pourra être modifiée afin d’être améliorée.
Il ne faut pas perdre de vue son objectif premier : acquérir des talents tout en assurant un maintien de la productivité.
Gérants majoritaires de SARL et EURL: comment limiter vos prélèvements sociaux et fiscaux en 2013
Les gérants majoritaires vont connaître des majorations significatives des prélèvements sociaux et fiscaux dès 2013. Si la loi de finance 2013 est en cours de vote, certaines options peuvent déjà être prises sur le plan social et fiscal.
La loi de financement de la sécurité sociale 2013 prévoit tout un florilège de mesures qui vont aggraver les prélèvements sociaux des gérants majoritaires de SARL et d’EURL, même pour les plus modestes d’entre eux. Les mesures-phares sont (i) la suppression de l’abattement 10% pour frais professionnels (ii) l’assujettissement des dividendes à toutes les cotisations sociales, pour la partie excédant 10% du capital social enfin (iii) l’assujettissement de la totalité des rémunérations aux cotisations d’assurance maladie pour la partie dépassant 14500 € par an. De leur coté, les professions libérales règlementées subiront une majoration de 1.12% du taux des cotisations retraite en 2013.
Sur le plan fiscal. Également un véritable inventaire à la Prévert. Tranche supplémentaire d’imposition à 45% à compter de 150 000 € de revenu imposable par part, , taxation au taux progressif des plus-values de cession des valeurs mobilières, limitation à 10 000 € des niches fiscales, sans compter la symbolique imposition au taux 75% à compter de 1M par bénéficiaire.
Toutefois, les mesures sociales ne seront applicables que pour les revenus perçus à compter du 1er janvier 2013. En revanche, pour les impôts, il en va différemment. En effet, la loi de finances 2013 s’appliquera aux revenus encaissés en 2012. Par ailleurs, la suppression de la déduction de 10% sur le plan social pour les gérants entrainera à due concurrence une majoration de leur revenu sur le plan fiscal, laquelle majoration se traduira par un supplément d’impôt en 2014.
En conséquence, c’est sur le plan social que vous pouvez agir pour limiter les prélèvements jusqu’au 31 décembre 2012. En d’autres termes, vous pouvez atténuer les suppléments de charges sociales :
– En augmentant cette année votre rémunération perçue à titre de gérant majoritaire, quitte à la baisser en 2013,
– En touchant un supplément de dividendes avant la fin de l’année, quitte à les réduire à 2012,
dans la mesure où ces décisions n’entrainent pas la taxation de vos revenus à une nouvelle tranche marginale d’imposition.
Par ailleurs, faites voter en assemblée générale extraordinaire autorisant la capitalisation des réserves. Ainsi, vous augmentez les dividendes que votre société peut vous verser en franchise de charges sociales. Faites voter cette décision et celle concernant le versement de dividendes supplémentaires au cours d’une seule et même assemblée.
Compte tenu de ce qui précède, dois-je considérer de transformer ma SARL en SAS ? Contrairement aux dividendes de SARL, ceux versés par les SAS à leurs présidents resteront exemptés de prélèvements sociaux en 2013. De plus, sur le plan fiscal, les présidents de SAS conservent la déduction forfaitaire de de 10% pour frais professionnels. Dans ces conditions, n’est-il pas tentant de changer de forme juridique.
A première vue, même avec ce relèvement substantiel en 2013, les prélèvements sociaux de gérants demeureront, proportionnellement à la rémunération versée, sensiblement moins importants que ceux des présidents de SAS. En 2012, pour un coût de 100 pour la société, un président de SAS perçoit en moyenne 56, un gérant de SARL 67, soit un écart de 11. Bref, l’avantage à la gérance diminue mais n’est pas réduit à néant.
Ensuite, les gérants pourront à compter de 2013 déduire les frais professionnels réellement engagés. Certes, peu de gérants engagent des frais réels supérieurs à 10% de leur rémunération. Même si les modalités de calcul de cette déduction des frais réels n’est pas arrêtée, tant par les organismes sociaux que l’administration fiscale, la suppression de la déduction forfaitaire n’augmentera de facto une augmentation de 10% des bases imposables.
Enfin, ce changement de forme juridique nécessite un commissaire à la transformation (compter à minima 1 800 €). Avec les formalités (1 200 €), l’opération se solde par un coût minimum de 3 000 €, de 4 500 € à minima plus si vous sollicitez un avocat pour exécuter l’ensemble de ces formalités.
Galay S4 arrivée d’un un mini
Galaxy S4 : Samsung confirme la sortie d’une version Mini
Après des semaines de rumeurs sur la sortie d’une version Mini du Galaxy S4, Samsung a confirmé la commercialisation aux alentours du mois de juin 2013 d’un Galaxy S4 Mini équipé d’un écran HD Amoled en 4,3 pouces.
Photos du Galaxy S4 Mini
Selon le site Sammobile, qui a eu confirmation de la part de Samsung, une version “Mini” du Galaxy S4 verra le jour et devrait être commercialisé en Europe au cours du mois de juin.
Cette annonce va dans le sens de la stratégie commerciale adoptée par le géant sud-coréen qui mise davantage sur sa gamme Galaxy, dont les versions S3 et S3 Mini ont connu un véritable succès dans le monde.
D’après Sammobile, ce smartphone serait équipé d’une dalle de 4,3 pouces HD Amoled, d’une caméra de 8 megapixel, d’un processeur quadricoeurs, d’un emplacement micro SD et embarquerait Android 4.2.2. Ce téléphone serait décliné en versions 8, 16 et 32 Go de stockage.
Source: http://www.infos.fr/galaxy-s4-samsung-confirme-la-sortie-d-une-version-mini-16998.html#ixzz2OuyWGWyf
Iphone : des appels gratuits !!!
Facebook Messenger : les appels entre iPhone deviennent gratuits
Facebook vient de mettre à jour son application Messenger qui propose désormais la gratuité pour les appels entre iPhone.
Facebook offre la gratuité des appels sur iPhone – Crédits : Facebook.com
Cette fonctionnalité d’appels gratuits proposée par Facebook Messenger entre iPhone était déjà disponible aux USA et au Canada depuis le mois de janvier 2013. Facebook vient d’annoncer que cette option sera désormais intégrée dans son application Messenger de plusieurs pays d’Europe, et notamment la France.
Il faut toutefois préciser que pour que cette communication gratuite se fasse, il est nécessaire que les deux iPhone ait installé au préalable l’application Facebook Messenger disponible gratuitement sur l’AppStore. Il vous suffit de sélectionner la personne que vous souhaitez appeler puis de cliquer en haut à droite sur “Appel gratuit”. Très simple donc.
L’appel ne transitera pas par le réseau de téléphonie mobile comme lorsque l’on appelle une personne, mais passera par le réseau 3G, voire Edge pour certains, du téléphone qui sera débité du forfait Data. Tout comme le fait déjà l’application Skype, Messenger utilise la technologie de Voix sur IP.
Il est également possible de passer des appels vers des smartphones Android.
Source: http://www.infos.fr/facebook-messenger-les-appels-entre-iphone-gratuits-17010.html#ixzz2OuxVusqd
Les cinq innovations qui vont révolutionner le commerce de demain
Par Mallory LALANNE
Alors que les consommateurs ne jurent que par les nouvelles technologies, les enseignes doivent s’adapter à ces nouveaux comportements pour améliorer leur relation client. Zoom sur les innovations présentées lors du Cegid Retail Connections à Venise.
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Une borne interactive pour présenter les produits …




