Urgence nationale. A quelques jours de la publication du Livre blanc de la défense, les entreprises françaises peuvent s’attendre à un véritable électrochoc en matière de cybersécurité, un domaine que le document va mettre fortement à l’honneur. SiFrançois Hollande avalise les recommandations qui lui sont soumises, la France va, par le truchement d’une loi, imposer à ses 250 opérateurs d’importance vitale, mais pas seulement, de protéger leurs systèmes d’informations de manière drastique, a-t-on appris de sources concordantes. Même si cela restera confidentiel, il est aussi envisagé de rendre obligatoire la déclaration de la moindre attaque informatique.
Espionnage économique
La France ne part pas de zéro. En 2008, quelques mois après les attaques par déni de service qui avaient frappé l’Estonie, le Livre blanc précédent avait déjà mis l’accent sur la montée en puissance des cybermenaces, qu’elles soient d’origine mafieuse, terroriste, idéologique, comme le mouvement Anonymous, voire étatique. Il en est résulté la naissance de l’Agence nationale de la sécurité des systèmes d’information (Anssi). Cet organisme a bénéficié d’une forte augmentation de ses effectifs d’experts -ils seront 357 en fin d’année. Son action a permis de mettre à nu l’ampleur de l’espionnage économique qui frappe l’économie française depuis des années.
Et pour cause : tous les spécialistes s’accordent pour affirmer que le niveau de sécurité informatique des grandes entreprises françaises, sans parler des PME qui oeuvrent dans les technologies de pointe, est très déficient. Les millions de terminaux mobiles connectés et non sécurisés sont autant de portes d’entrée pour les virus en tous genre.« S’il n’existe pas de données chiffrées, tout laisse à penser que le préjudice subi par ces entreprises, et par voie de conséquence, sur l’économie française dans son ensemble, est considérable, tant en termes financiers et de parts de marchés, que d’emplois », déplorait l’année dernière le sénateur Jean-Marie Bockel dans son rapport sur la cyberdéfense.
Plusieurs cas ont défrayé la chronique ces dernières années, et la Chine est souvent citée comme l’empire du mal. Areva par exemple a été espionné pendant plusieurs mois. L’Etat aussi suscite l’appétit d’intérêts étrangers, comme en témoignent les attaques -rendues publiques -dont Bercy a été victime fin 2010. La commission du livre blanc chargée du sujet a donc préconisé un véritable choc de sécurité pour enrayer le phénomène, « comme un boxeur qui remonte la garde », résume-t-on de source proche du dossier.
Pouvoirs de sanction
Face à l’évolution de la menace, qui frappe désormais les grands systèmes industriels -les « Scada » dans le jargon métier -l’urgence c’est de doter le pays d’une vraie autorité de régulation nationale, avec les pouvoirs de sanction qui vont avec. En 2011, l’Anssi s’est déjà vu confier la responsabilité d’organiser la réponse à une attaque informatique majeure contre la Nation. Il s’agit désormais d’aller plus loin.
Telle qu’imaginée, la future loi obligera les entreprises à se doter de moyens solides de détection de cyberattaques à partir de matériels et logiciels que l’agence aura labellisés et qui devront être opérés en France. De même qu’elle aura le droit de mener des audits de contrôle, où de les confier à des prestataires de confiance là encore sélectionnés par ses soins. A condition que les moyens suivent. Le livre blanc propose que les effectifs de l’Anssi se hissent au niveau de ceux de ses homologues britannique et allemand. Il est prévu de dépasser la barre des 500 experts.
Quel régime pour les PME ?
En France, il faut encore qu’une entreprise soit victime d’une cyberattaque pour que ses dirigeants réalisent qu’il aurait mieux valu investir en amont. D’où l’intérêt d’une loi obligeant à se protéger. Reste à bien définir le public visé. S’il est possible d’imposer des contraintes réglementaires aux opérateurs d’importance vitale, en majorité des grandes entités, c’est plus difficile pour les PME, aux moyens limités, mais dont le savoir-faire est partie prenante du patrimoine économique national. Surtout, elles sont souvent sous-traitantes de grands groupes ou d’administrations et, donc, portes d’entrée potentielles pour les cyberespions. La DGA commence à imposer des clauses contractuelles à ses fournisseurs, les obligeant à renforcer leur cybersécurité.
De retour de la cantine, c’est l’excitation pour les “grands” de la maternelle Marxenhouse à Haguenau (Bas-Rhin), qui viennent d’apercevoir des tablettes tactiles dans la classe. “C’est leur séance hebdomadaire, ils adorent”, sourit leur institutrice.
Depuis quelques semaines, une quarantaine d’élèves de grande section expérimentent l’introduction de six ardoises d’un nouveau genre, financées par la municipalité de cette ville de…
Une nouvelle étude du cabinet spécialisé Gartner, consacrée aux ventes à venir des équipements informatiques, confirme l’engouement pour les tablettes et smartphones, au détriment des PC et des notebooks.
Après des semaines de rumeurs sur la sortie d’une version Mini du Galaxy S4, Samsung a confirmé la commercialisation aux alentours du mois de juin 2013 d’un Galaxy S4 Mini équipé d’un écran HD Amoled en 4,3 pouces.
Photos du Galaxy S4 Mini
Selon le site Sammobile, qui a eu confirmation de la part de Samsung, une version “Mini” du Galaxy S4 verra le jour et devrait être commercialisé en Europe au cours du mois de juin.
D’après Sammobile, ce smartphone serait équipé d’une dalle de 4,3 pouces HD Amoled, d’une caméra de 8 megapixel, d’un processeur quadricoeurs, d’un emplacement micro SD et embarquerait Android 4.2.2. Ce téléphone serait décliné en versions 8, 16 et 32 Go de stockage.
Facebook vient de mettre à jour son application Messenger qui propose désormais la gratuité pour les appels entre iPhone.
Facebook offre la gratuité des appels sur iPhone – Crédits : Facebook.com
Cette fonctionnalité d’appels gratuits proposée par Facebook Messenger entre iPhone était déjà disponible aux USA et au Canada depuis le mois de janvier 2013. Facebook vient d’annoncer que cette option sera désormais intégrée dans son application Messenger de plusieurs pays d’Europe, et notamment la France.
Il faut toutefois préciser que pour que cette communication gratuite se fasse, il est nécessaire que les deux iPhone ait installé au préalable l’application Facebook Messenger disponible gratuitement sur l’AppStore. Il vous suffit de sélectionner la personne que vous souhaitez appeler puis de cliquer en haut à droite sur “Appel gratuit”. Très simple donc.
L’appel ne transitera pas par le réseau de téléphonie mobile comme lorsque l’on appelle une personne, mais passera par le réseau 3G, voire Edge pour certains, du téléphone qui sera débité du forfait Data. Tout comme le fait déjà l’application Skype, Messenger utilise la technologie de Voix sur IP.
Il est également possible de passer des appels vers des smartphones Android.
Le regard porté sur la m-santé, marché qui devrait atteindre 1,7 milliard d’utilisateurs dans le monde d’ici 2017, est, contrairement à l’année dernière, de plus en plus positif du côté du corps médic…